Makatussin Comp. Sirup Fl 80 ml

Qu’est-ce que le sirop antitussif Makatussin Comp. et quand doit-il être utilisé?

Le sirop antitussif Makatussin Comp. est un médicament pour le traitement de la toux, particulièrement la toux sèche.

Il calme réflexe de la toux, fluidifie le mucus et entraîne une diminution de l'enflure de la muqueuse bronchique et nasale.

Quand le sirop antitussif Makatussin Comp. ne doit-il pas être pris/utilisé?

Le sirop antitussif Makatussin Comp. ne doit pas être utilisé dans les cas suivants:

• En cas d'hypersensibilité avérée à l'un des composants.
• Chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans;
• Les patients de tous âges, connus pour être des «métaboliseurs ultrarapides», c'est-à-dire pour transformer très rapidement la codéine en morphine, ne doivent pas utiliser la codéine pour le traitement de la toux et d'un refroidissement, car ils présentent un risque plus élevé d'effets secondaires graves dus à la codéine.
• Pendant la grossesse.
• Les femmes qui allaitent ne doivent pas prendre de codéine, car la codéine passe dans le lait maternel et peut donc nuire au nourrisson.
• En cas d'asthme bronchique;
• En cas des états de maladie où il s'agit d'éviter une dépression du centre respiratoire;
• En cas d'administration à long terme lors de constipation chronique;
• En cas de glaucome à angle étroit;
• En cas d'augmentation du volume de la prostate (hypertrophie prostatique);
• En cas de toux accompagnée d'une formation importante de mucus;
• Après des interventions chirurgicales au niveau des intestins et de l'estomac;
• En cas de sténose au niveau du cardia, du duodénum ou du pylore;
• En cas de phéochromocytome (tumeur neuroectodermique);
• En cas de traitement avec certains médicaments contre les perturbations affectives (dits inhibiteurs de la mono-amino-oxydase [inhibiteurs de MAO] en cas de dépression);
• En cas de dépendance aux opiacés (codéine et substances analogues).

Quelles sont les précautions à observer lors de la prise/de l’utilisation de du sirop antitussif Makatussin Comp.?

La prudence s'impose en cas de troubles respiratoires.

La codéine n'est pas recommandée chez les adolescents âgés de 12 à 18 ans souffrant de troubles respiratoires, car cette population de patients est éventuellement plus sensible aux troubles respiratoires dus à la codéine. Une prise du médicament à long cours peut entraîner une accoutumance et une dépendance.

L'association à des médicaments produisant une dépression centrale (par ex. sédatifs et somnifères), ainsi que la prise simultanée d'alcool, peuvent entraîner un renforcement réciproque de l'effet.

En cas de maladie hépatique ou rénale ou en cas de ralentissement par rapport à la plupart des autres personnes de l'élimination du principe actif codéine en raison d'un facteur génétique, le sirop pour la toux Makatussin Comp. ne doit être pris sans prescription médicale qu'avec précautions et pendant quelques jours seulement.

Ce médicament peut affecter les réactions, l'aptitude à la conduite et la capacité à utiliser des outils ou des machines! Cela est particulièrement valable en cas de consommation d'alcool en même temps.

Veuillez informer votre médecin ou votre pharmacien si vous souffrez d'une autre maladie, si vous êtes allergique, si vous prenez ou utilisez déjà d'autres médicaments en usage externe (même en automédication!).

Ce médicament contient 250 mg de solution de sorbitol à 70% par 5 ml. Le sorbitol est une source de fructose. Consultez votre médecin avant de prendre ce médicament s'il vous a dit qu'on avait diagnostiqué chez vous une intolérance à certains sucres ou si vous souffrez d'une intolérance héréditaire au fructose (IHF), maladie congénitale rare caractérisée par l'impossibilité de dégrader le fructose.

Ce médicament contient 3,5 mg de benzoate de sodium (E211) par 5 ml.

Si vous souffrez d'une intolérance à un sucre, ne prenez le sirop de Makatussin Comp. qu'après en avoir parlé avec votre médecin.

Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par 5 ml, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».

Le sirop antitussif Makatussin Comp. peut-il être pris/utilisé pendant la grossesse ou l’allaitement?

Le sirop antitussif Makatussin Comp. ne peut pas être utilisé pendant la grossesse.

Les femmes qui allaitent ne doivent pas prendre de codéine, car la codéine passe dans le lait maternel et peut donc nuire au nourrisson.

Comment utiliser le sirop antitussif Makatussin Comp.?

Sauf avis contraire du médecin:

Adultes à partir de 18 ans: 2 - 3 fois par jour de 5 ml. Pour un dosage précis une tasse à mesurer est inclus.

Veuillez-vous conformer au dosage figurant sur la notice d'emballage ou prescrit par votre médecin. Si vous estimez que l'efficacité du médicament est trop faible ou au contraire trop forte, veuillez-vous adresser à votre médecin ou à votre pharmacien.

Quels effets secondaires le sirop antitussif Makatussin Comp. peut-il provoquer?

La prise de Makatussin Comp. peut provoquer les effets secondaires suivants:

Les indications suivantes sont utilisées pour classifier les données de fréquence des effets secondaires: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10 000), «très rares» (<1/10 000).

Souvent: nausées, constipation, somnolence, maux de tête; en cas d'utilisation abusive, risque de dépendance; occasionnellement: dyspnée; rarement: fatigue, vomissements, dépression, sécheresse de la bouche, troubles nerveux centraux, troubles de la miction, troubles visuels, déclenchement d'un glaucome, réactions d'hypersensibilité (par ex. éruptions cutanées), altération de la formule sanguine, interruption du sommeil, euphorie.

Si vous remarquez des effets secondaires qui ne sont pas mentionnés dans cette notice, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien.

À quoi faut-il encore faire attention?

Conserver à une température ambiante (15 – 25 °C) et hors de portée des enfants!

Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient. Pour de plus amples renseignements, consultez votre médecin ou votre pharmacien, qui disposent d'une information détaillée destinée aux professionnels.

Que contient le sirop antitussif Makatussin Comp.?

Principes actifs

5 ml contiennent:

Principes actifs: 10 mg d'hydrochlorure de dihydrocodéine, 15 mg d'hydrochlorure de diphénhydramine;

Excipients

Benzoate de sodium (E211); acide citrique; néohespéridine dihydrochalcone; saccharose; arôme cerise; concentré de sureau; solution de sorbitol à 70% (non cristallisable); eau purifiée

5 ml contiennent env. 4 g d’hydrates de carbone (= env. 0,33 UP).

Numéro d’autorisation

39255 (Swissmedic)

Où obtenez-vous le sirop antitussif Makatussin Comp.? Quels sont les emballages à disposition sur le marché?

En pharmacie, sans ordonnance médicale. Flacon de 80 ml.

Titulaire de l’autorisation

Gebro Pharma SA, 4410 Liestal.

Cette notice d'emballage a été vérifiée pour la dernière fois en JUIN 2020 par l'autorité de contrôle des médicaments (Swissmedic).

Che cos’è lo sciroppo contro la tosse Makutassin Comp. e quando si usa?

Lo sciroppo contro la tosse Makatussin Comp. è un medicamento per il trattamento della tosse, in particolare della tosse secca irritativa.

Calma lo stimolo della tosse, fluidifica il muco e fa diminuire la congestione della mucosa bronchiale e nasale.

Quando non si può assumere/usare lo sciroppo contro la tosse Makatussin Comp.?

Quando non si può assumere/usare lo sciroppo contro la tosse Makatussin Non si può prendere lo sciroppo contro la tosse Makatussin Comp.:

• in caso di nota ipersensibilità a uno dei componenti;
• per la somministrazione nei bambini e nei giovani di età inferiore ai 18 anni;
• i pazienti di qualsiasi età noti per essere «metabolizzatori ultrarapidi», cioè coloro che trasformano la codeina molto rapidamente in morfina, non devono usare la codeina per il trattamento della tosse e del raffreddore. Infatti, essi presentano un maggiore rischio di gravi effetti collaterali dopo l'assunzione di codeina;
• durante la gravidanza;

le donne che stanno allattando non devono assumere la codeina. Infatti, la codeina passa nel latte materno e può essere nociva per il lattante.

• in caso di asma bronchiale;
• in caso di malattie in cui bisogna evitare di deprimere il centro respiratorio;
• in caso di somministrazione a lunga scadenza in presenza di stitichezza cronica;
• in caso di glaucoma ad angolo chiuso (aumento patologico della pressione intraoculare);
• in caso di ipertrofia prostatica (ingrossamento della prostata);
• in caso di tosse con abbondante formazione di catarro;
• dopo interventi chirurgici sul tratto gastrointestinale, in presenza di restringimenti a livello del tratto iniziale dello stomaco, del duodeno e del tratto terminale dello stomaco;
• in caso di feocromocitoma (tumori neuroectodermici);
• in caso di trattamento con determinati farmaci contro la depressione (i cosiddetti inibitori della mono-aminossidasi [inibitori MAO]);
• in caso di dipendenza da oppiacei (codeina e sostanze simili).

Quando è richiesta prudenza nella somministrazione/nell’uso dello sciroppo contro la tosse Makatussin Comp.?

La prudenza si impone in presenza di disturbi respiratori.

Negli adolescenti tra i 12 e i 18 anni che soffrono di disturbi respiratori, non è consigliata la codeina, in quanto questa popolazione di pazienti può essere eventualmente più soggetta a disturbi respiratori causati dalla codeina.

In caso di somministrazione a lunga scadenza può manifestarsi assuefazione e dipendenza.

Associando lo sciroppo contro la tosse Makatussin Comp. a medicamenti che deprimono il sistema nervoso centrale (p.es. calmanti e sonniferi) ed all'alcool si può avere un reciproco potenziamento dei rispettivi effetti.

Se soffre di una malattia del fegato o dei reni, o se dovesse risultare che, a causa di una predisposizione genetica, il Suo organismo elimina il principio attivo codeina più lentamente della maggior parte delle persone, è opportuno che, per prudenza, in assenza di prescrizione medica, Lei prenda Makatussin Comp. Sciroppo contro la tosse solo per pochi giorni.

Questo medicamento può ridurre la capacità di reazione, la capacità di condurre un veicolo e la capacità di utilizzare attrezzi o macchine! Ciò è particolarmente valido in caso de consumo d'alcool allo stesso tempo.

Informi il medico o il farmacista se soffre di altre malattie, è allergico o assume o applica altri medicamenti (anche di propria iniziativa!).

Questo medicamento contiene 250 mg di soluzione di sorbitolo al 70% per 5 ml.

Il sorbitolo è una fonte di fruttosio. Consulti il suo medico prima di assumere o ricevere questo medicamento, se il suo medico le ha comunicato che lei presenta un'intolleranza a determinati zuccheri o se le è stata diagnosticata un'intolleranza ereditaria al fruttosio (HFI), una rara malattia congenita che consiste nell'impossibilità della persona di degradare il fruttosio.

Questo medicamento contiene 3,5 mg di sodio benzoato (E211) per 5 ml.

Assuma lo sciroppo Makatussin Comp soltanto dopo aver consultato il suo medico, se sa di essere affetto da un'intolleranza a zuccheri.

Questo medicamento contiene meno di 1 mmol (23 mg) di sodio per 5 ml, cioè essenzialmente «senza sodio».

Si può assumere/usare lo sciroppo contro la tosse  Makatussin Comp. durante la gravidanza o l’allattamento?

Durante la gravidanza non si può prendere lo sciroppo contro la tosse Makatussin Comp.

Le donne che stanno allattando non devono assumere la codeina. Infatti, la codeina passa nel latte materno e può essere nociva per il lattante.

Come usare lo sciroppo contro la tosse Makatussin Comp.?

Salvo diversa prescrizione del medico:

adulti a partire da 18 anni: 2-3 volte al giorno 5 ml. Per dosaggio accurato una tazza di misurazione è incluso.

Si attenga alla posologia indicata nel foglietto illustrativo o prescritta dal medico. Se ritiene che il farmaco agisca troppo poco o troppo, ne parli al medico o al farmacista.

Quali effetti collaterali può avere lo sciroppo contro la tosse Makatussin Comp.?

Con l'assunzione di sciroppo contro la tosse Makatussin Comp. possono manifestarsi i seguenti effetti collaterali:

I dati riportati qui di seguito sono usati per suddividere le indicazioni concernenti la frequenza degli effetti collaterali: «molto frequente» (≥1/10), «frequente» (<1/10, ≥1/100), «occasionale» (<1/100, ≥1/1'000), «raro» (<1/1'000, ≥1/10'000), «molto raro» (<1/10'000).

Frequenti: nausea, stitichezza sonnolenza, mal di testa; in caso di abuso c'è pericolo di farmacodipendenza; occasionalmente: asma; rari: stanchezza, conati di vomito, effetto sedativo, secchezza della bocca, disturbi del sistema nervoso centrale, disturbi al momento di urinare, disturbi visivi, insorgenza di un glaucoma, reazioni di ipersensibilità (per esempio eruzioni sulla pelle), alterazioni del quadro ematologico, disturbo del sonno, euforia.

Se osserva effetti collaterali qui non descritti dovrebbe informare il suo medico o il suo farmacista.

Di che altro occorre tener conto?

Conservare a temperatura ambiente (15 – 25 °C) e fuori della portata dei bambini!

Si può usare il medicamento solo fino alla data indicata con «Exp.» sulla confezione.

Il medico o il farmacista, che sono in possesso di documentazione specializzata e dettagliata, possono darle ulteriori informazioni.

Cosa contiene lo sciroppo contro la tosse Makatussin Comp.?

Principi attivi

5 ml contengono:

Principi attivi: 10 mg di diidrocodeina cloridrato, 15 mg di difenidramina cloridrato.

Sostanze ausiliarie

Sodio benzoato (E211), acido citrico, neoesperidina diidrocalcone, saccarosio, aroma di ciliegia, concentrato di sambuco, soluzione di sorbitolo al 70% (non cristallizzante), acqua purificata.

5 ml contengono circa 4 g di carboidrati (circa 0,33 di unità pane).

Numero dell’omologazione

39255 (Swissmedic)

Dove è ottenibile lo sciroppo contro la tosse Makatussin Comp.? Quali confezioni sono disponibili?

In farmacia, senza ricetta medica.

Flacone da 80 ml.

Titolare dell’omologazione

Gebro Pharma SpA, 4410 Liestal.

Questo foglietto illustrativo è stato controllato l'ultima volta nel GIUGNO 2020 dall'autorità competente in materia di medicamenti (Swissmedic).

Zusammensetzung

Wirkstoffe

Dihydrocodeini hydrochloridum, Diphenhydramini hydrochloridum.

Hilfsstoffe

Natriumbenzoat (E211) 3.5 mg / 5 ml; Zitronensäure; Neohesperidin-Dihydrochalkon; Saccharose 3.9 g / 5 ml; Kirschenaroma; Holunderkonzentrat; Sorbitol-Lösung 70% (nicht kristallisierend) 250 mg / 5 ml; gereinigtes Wasser.

5 ml enthalten 0.55 mg Natrium.

Darreichungsform und Wirkstoffmenge pro Einheit

5 ml enthalten 10 mg Dihydrocodeini hydrochloridum und 15 mg Diphenhydramini hydrochloridum.

Indikationen/Anwendungsmöglichkeiten

Husten bei grippalen Infekten, Reizhusten.

Auf ärztliche Verschreibung auch bei akuter und chronischer Bronchitis.

Dosierung/Anwendung

Erwachsene ab 18 Jahren: 2-3 x tgl. 5 ml. Zur genauen Dosierung liegt ein Messbecher bei.

Kontraindikationen

Überempfindlichkeit gegenüber dem Wirkstoff oder einem der Hilfsstoffe gemäss Zusammensetzung.

Asthma bronchiale.

Krankheitszustände, bei denen eine Dämpfung des Atemzentrums vermieden werden muss.

Langzeitverabreichung bei chronischer Verstopfung.

Engwinkelglaukom.

Prostatahypertrophie mit Restharnbildung.

Krankheitszustände mit starker Stauung von Bronchialsekret.

Nach viszeralchirurgischen Eingriffen.

Bei Divertikulitis.

Bei Obstruktion von Cardia, Pylorus oder Duodenum.

Phäochromozytom.

Gleichzeitige Gabe von MAO-Hemmern.

Abhängigkeit von Opioiden.

Während der Schwangerschaft.

Bei Kindern und Jugendlichen unter 18 Jahren.

Codein ist kontraindiziert bei Patienten, die bekanntermassen ultraschnelle CYP2D6-Metabolisierer sind:

• Codein wird in seinen aktiven Metaboliten Morphin durch die hepatischen Isoenzyme CYP2D6 umgewandelt, von denen einige genetische Polymorphismen existieren. Patienten mit einem «ultraschnellen CYP2D6-Metabolisierer»-Phänotyp haben eine hohe CYP2D6-Aktivittät, so dass toxische Serum-Level des Morphins auch bei geringen Dosen entstehen können. Diese «ultraschnellen Metabolisierer» können Symptome der Überdosierung zeigen, wie Schwindel, tiefe Sedierung, Kurzatmigkeit, Übelkeit und Erbrechen, bis hin zu einem Atem- und Herzstillstand.
• Bei stillenden Müttern, die «ultraschnelle CYP2D6-Metabolisierer» sind und eine Codein-Therapie erhalten, ist die Gefahr von Überdosierung und Tod des Neugeborenen durch eine hohe Morphin-Serum-Konzentration gross. Bei Anzeichen einer Opioid-Toxizität ist eine engmaschige Überwachung der Patienten von enormer Bedeutung.

Bei stillenden Frauen.

Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen

Vorsichtige Anwendung bei Erkrankungen, wo die Atemfunktion eingeschränkt ist.

Leber- und Nierenfunktionsstörungen können zu erhöhten Blutspiegeln beider Wirkstoffe führen.

Bei längerem und hochdosiertem Gebrauch kann sich eine Codein-Toleranz mit psychischer und physischer Abhängigkeit entwickeln.

Die gleichzeitige Einnahme von Alkohol kann zu einer verstärkten Beeinträchtigung des Reaktionsvermögens führen.

Patienten mit der seltenen hereditären Fructose-/Galactose-Intoleranz, einer Glucose-Galactose-Malabsorption oder einer Sucrase-Isomaltase-Insuffizienz sollten dieses Arzneimittel nicht anwenden.

Dieses Arzneimittel enthält 3.5 mg Natriumbenzoat (E 211) pro 5 ml.

Dieses Arzneimittel enthält 250 mg Sorbitol-Lösung 70% pro 5 ml.

Die additive Wirkung gleichzeitig angewendeter Sorbitol (oder Fructose) -haltiger Arzneimittel und die Einnahme von Sorbitol (oder Fructose) über die Nahrung ist zu berücksichtigen.

Der Sorbitolgehalt oral angewendeter Arzneimittel kann die Bioverfügbarkeit von anderen gleichzeitig oral angewendeten Arzneimitteln beeinflussen.

Patienten mit hereditärer Fructoseintoleranz (HFI) dürfen dieses Arzneimittel nicht einnehmen / erhalten.

Dieses Arzneimittel enthält weniger als 1 mmol Natrium (23 mg) pro 5 ml, d.h. es ist nahezu «natriumfrei».

Interaktionen

In Kombination mit zentraldämpfenden Pharmaka oder Alkohol kann eine gegenseitige Wirkungsverstärkung eintreten, u.a. mit Gefahr von Atemdepression.

Die gleichzeitige Verabreichung von MAO-Hemmern kann zu einer Verstärkung der zentralnervösen Wirkungen wie Erregung, Krämpfe, Halluzinationen, Schwitzen, Blutdruckveränderungen und Muskelsteifheit führen. Makatussin comp. Hustensirup sollte daher erst zwei Wochen nach dem Ende einer Therapie mit MAO-Hemmern angewendet werden.

Bei gleichzeitiger Einnahme von Analgetika (z.B. Acetylsalicylsäure oder Paracetamol) kann sich die analgetische Wirkung dieser Substanzen gegenseitig verstärken.

Arzneimittel, die den Leberstoffwechsel beeinflussen, können zu erhöhten Blutspiegeln von Codein führen.

Nicht zusammen mit Expektorantien geben, da der vermehrt gebildete Schleim wegen der antitussiven Wirkung von Dihydrocodein nicht abgehustet werden kann.

Schwangerschaft/Stillzeit

Codein darf während der Schwangerschaft und Stillzeit nicht angewendet werden (siehe Kontraindikationen).

Im Tierversuch liegen für Codein Hinweise auf teratogene Eigenschaften vor. Beim Menschen wurde eine Assoziation zwischen Missbildungen des Respirationstraktes und der Anwendung von Codein in den ersten drei Monaten der Schwangerschaft festgestellt. Weiterhin gibt es Hinweise auf Entzugssymptome beim Neugeborenen nach wiederholter Anwendung von Codein im letzten Trimenon der Schwangerschaft. Bei der Anwendung vor Geburt ist zudem an eine mögliche Atemdepression zu denken. Aus den erwähnten Gründen ist Makatussin comp. Hustensirup während der Schwangerschaft kontraindiziert.

Bei Diphenhydramin existieren Hinweise auf vermehrtes Auftreten von Gaumenspalten. Diphenhydramin geht in die Muttermilch über und hemmt die Laktation.

Wirkung auf die Fahrtüchtigkeit und auf das Bedienen von Maschinen

Dieses Arzneimittel kann auch bei bestimmungsgemässem Gebrauch das Reaktionsvermögen soweit verändern, dass die Fähigkeit zur aktiven Teilnahme am Strassenverkehr oder zum Bedienen von Maschinen beeinträchtigt wird. Dies gilt in verstärktem Masse im Zusammenwirken mit Alkohol.

Unerwünschte Wirkungen

Die folgenden Angaben werden zur Einteilung der Häufigkeitsangaben der Nebenwirkungen verwendet: «Sehr häufig» (≥1/10), «häufig» (<1/10, ≥1/100), «gelegentlich» (<1/100, ≥1/1000), «selten» (<1/1000, ≥1/10'000), «sehr selten» (<1/10'000).

Erkrankungen des Nervensystems

Häufig: Leichte Somnolenz, Kopfschmerzen

Erkrankungen des Gastrointestinaltrakts

Häufig: Obstipation, Nausea, epigastrische Beschwerden, Erbrechen (besonders initial).

Gelegentlich: Mundtrockenheit, Schluckbeschwerden, Tonuserhöhung der Ausgangschliessmuskel von Gallengang und Magen.

Erkrankungen der Atemwege, des Brustraums und Mediastinums

Gelegentlich: Kurzatmigkeit.

Erkrankungen der Geschlechtsorgane und der Brustdrüse

Gelegentlich: Blasenentleerungsstörungen.

Erkrankungen der Haut und des Unterhautzellgewebes

Selten: Erythem, Pruritus.

Psychiatrische Erkrankungen

Selten: Euphorie, Schlafstörungen.

Erkrankungen des Immunsystems

Sehr selten: schwere generalisierte allergische Reaktionen mit Ausschüttung signifikanter Mengen Histamin, wobei Hypotonie, kutane Vasodilatation, Erytheme, Urtikaria und eine Bronchokonstriktion auftreten können.

Bei höheren Dosen oder besonders empfindlichen Patienten können auch auftreten: Atemdepression, Miosis und Sehstörungen, verminderte Schweisssekretion, Bradykardie, bei längerer Behandlungsdauer auch Abhängigkeit mit Entzugserscheinungen bei Absetzen.

Die Meldung des Verdachts auf Nebenwirkungen nach der Zulassung ist von grosser Wichtigkeit. Sie ermöglicht eine kontinuierliche Überwachung des Nutzen-Risiko-Verhältnisses des Arzneimittels. Angehörige von Gesundheitsberufen sind aufgefordert, jeden Verdacht einer neuen oder schwerwiegenden Nebenwirkung über das Online-Portal ElViS (Electronic Vigilance System) anzuzeigen. Informationen dazu finden Sie unter www.swissmedic.ch.

Überdosierung

Anzeichen und Symptome

Das Charakteristikum der Überdosierung von Dihydrocodein ist die lebensbedrohliche Atemdepression. Die Symptome gleichen weitgehend der Morphinvergiftung mit extremer Somnolenz bis zu Stupor und Koma, meist verbunden mit Myosis, oft mit Erbrechen, Kopfschmerzen, Harn- und Stuhlverhaltung. Zyanose, Hypoxie, kalte Haut, Skelettmuskel-Tonusverlust und Areflexie kommen vor, manchmal Bradykardie und Blutdruckabfall, gelegentlich, vor allem bei Kindern, nur Krämpfe.

In einer Studie mit Diphenhydramin Überdosierungen kam es zu leichten aber signifikanten QT-Verlängerungen.

Behandlung

Die Wirkung von Dihydrocodein kann mit Opiatantagonisten wie z.B. Naloxon aufgehoben werden. Die Gabe von Naloxon muss ggf. wiederholt werden. Wenn Naloxon nicht eingesetzt werden kann, sind symptomatische Massnahmen, vor allem stabile Seitenlagerung, Beatmung und Schockbehandlung indiziert. Für die übrigen wirksamen Bestandteile sind keine speziellen Antidote bekannt. Die Behandlung erfolgt symptomatisch.

Eigenschaften/Wirkungen

ATC-Code

R05DA20

Wirkungsmechanismus

Codein ist ein Opiatagonist mit antitussiven und analgetischen Eigenschaften. Durch Hemmung des Hustenzentrums im Stammhirn werden Häufigkeit und Intensität der Hustenstösse vermindert. Die analgetische Wirkung von Codein ist wesentlich weniger ausgeprägt als die von Morphin und beruht weitgehend auf der metabolischen Umwandlung (Demethylierung) in Morphin, da Codein selbst nur eine geringe Affinität zu Opioidrezeptoren aufweist.

Diphenhydramin ist ein H1-Antihistaminikum und antagonisiert deshalb verschiedene physiologische und pathologische Wirkungen des Histamins, z.B. die Konstriktion der glatten Muskulatur der Bronchien und der Darmwand. Es besitzt eine stark ausgeprägte sedierende Wirkung sowie anticholinergische und antitussive Eigenschaften. Aufgrund dieser Eigenschaften trägt Diphenhydramin dazu bei, die Stärke und Häufigkeit von Hustenattacken zu reduzieren. Ausserdem werden durch die anticholinergen Eigenschaften von Diphenhydramin die überschiessende Schleimsekretion in der Nase und der Tränenfluss gehemmt. Dies führt zu einer Milderung der Begleiterscheinungen bei Erkältung und Schnupfen

Pharmakodynamik

Keine Angaben.

Klinische Wirksamkeit

Keine Angaben.

Pharmakokinetik

Absorption

Dihydrocodein

Dihydrocodein wird bei oraler Einnahme rasch resorbiert.

Diphenhydramin

Diphenhydramin wird nach oraler Zufuhr resorbiert, quantitative Angaben zur Vollständigkeit und Geschwindigkeit der Resorption liegen nicht vor.

Wirkungseintritt: 15-30 Minuten nach oraler Zufuhr.

Wirkungsdauer: 4-6 Stunden.

Distribution

Dihydrocodein

Die höchsten Plasmakonzentrationen werden nach 1,6 bis 1,8 Std. erreicht.

Diphenhydramin

Plasmaeiweissbindung: 70-85% (es liegen aber auch Angaben von 98-99% vor).

Verteilungsvolumen: 3-4 l/kg.

Plasmahalbwertszeit: 5-8 Stunden.

Metabolismus

Dihydrocodein

Dihydrocodeins wird unverändert renal ausgeschieden. Dihydrocodein wird zum grösseren Teil metabolisiert (O-Demethylierung über CYP2D6). Niereninsuffizienz scheint die Elimination von Dihydrocodein zu verzögern.

Diphenhydramin

Diphenhydramin wird zunächst zu Mono- und Di-Desmethyldiphenhydramin desalkyliert und dann zu Diphenylmethoxyessigsäure oxidiert. Dieser Metabolit wird möglicherweise an Glycin oder Glutamin gekoppelt und ausgeschieden

Elimination

Dihydrocodein

Die durchschnittliche Eliminationshalbwertzeit liegt bei 3,3 bis 4,5 Std. Innerhalb von 24 Std. wird ca. ein Drittel des oral eingenommenen Dihydrocodeins unverändert renal ausgeschieden.

Diphenhydramin

Weniger als 1% des oral zugeführten Diphenhydramin wird unverändert renal ausgeschieden, 60-70% werden innerhalb von 96 Stunden in Form von Metaboliten eliminiert. Eine quantitative Bestimmung des Verhältnisses der einzelnen Metaboliten ist bisher nicht erfolgt.

Kinetik spezieller Patientengruppen

Nierenfunktionsstörungen

Niereninsuffizienz scheint die Elimination von Dihydrocodein zu verzögern.

Präklinische Daten

Es sind keine für die Anwendung von Makatussin comp. Hustensirup relevanten präklinischen Daten bekannt.

Sonstige Hinweise

Haltbarkeit

Das Arzneimittel darf nur bis zu dem auf dem Behälter mit «EXP» bezeichneten Datum verwendet werden.

Besondere Lagerungshinweise

Bei Raumtemperatur (15 – 25 °C) lagern.

Zulassungsnummer

39255 (Swissmedic).

Zulassungsinhaberin

Gebro Pharma AG, 4410 Liestal.

Stand der Information

Juni 2020.

Composizione

Principi attivi

Dihydrocodeini hydrochloridum, Diphenhydramini hydrochloridum.

Sostanze ausiliarie

Sodio benzoato (E211) 3.5 mg / 5 ml; acido citrico; neoesperidina diidrocalcone; saccarosio 3.9 g / 5 ml; aroma di ciliegia; concentrato di sambuco, soluzione di sorbitolo 70% (non cristallizzante) 250 mg / 5 ml; acqua purificata.

In 5 ml sono contenuti 0.55 mg di sodio.

Forma farmaceutica e quantità di principio attivo per unità

In 5 ml sono contenuti 10 mg di Dihydrocodeini hydrochloridum e 15 mg di Diphenhydramini hydrochloridum.

Indicazioni/Possibilità d'impiego

Tosse nelle infezioni influenzali, tosse irritativa.

Su prescrizione medica anche nelle bronchiti acute e croniche.

Posologia/Impiego

Adulti a partire dai 18 anni: 5 ml, 2-3 volte al giorno. Per il dosaggio preciso è in dotazione un misurino.

Controindicazioni

Ipersensibilità al principio attivo o a una delle sostanze ausiliarie, secondo la composizione.

Asma bronchiale.

Stati patologici nei quali deve essere impedita una depressione del centro respiratorio.

Somministrazione a lungo termine nella stipsi cronica.

Glaucoma ad angolo chiuso.

Ipertrofia prostatica con formazione di residuo urinario.

Stati patologici con intenso ristagno di secreto bronchiale.

Dopo interventi di chirurgia viscerale.

Nella diverticolite.

Nell'ostruzione del cardias, del piloro o del duodeno.

Feocromocitoma.

Somministrazione concomitante di inibitori delle MAO.

Dipendenza da oppioidi.

Durante la gravidanza.

Nei bambini e adolescenti di età inferiore ai 18 anni.

La codeina è controindicata nei pazienti noti per essere metabolizzatori ultrarapidi CYP2D6:

• la codeina viene trasformata nel suo metabolita attivo tramite gli isoenzimi epatici CYP2D6, di cui esistono alcuni polimorfismi genetici. I pazienti con il fenotipo di «metabolizzatore ultrarapido CYP2D6» hanno una elevata attività del CYP2D6, per cui anche con dosi basse si possono raggiungere livelli sierici tossici di morfina. Questi «metabolizzatori ultrarapidi» possono manifestare sintomi di sovradosaggio, quali vertigini, sedazione profonda, dispnea, nausea e vomito, fino all'arresto respiratorio e cardiaco.
• Nelle madri che allattano, che sono «metabolizzatrici ultrarapide CYP2D6» e che ricevono una terapia con codeina, sussiste un grave pericolo di sovradosaggio e decesso del neonato a causa di una elevata concentrazione di morfina nel siero. Se si manifestano segni di tossicità da oppioidi, è estremamente importante sottoporre i pazienti a una stretta sorveglianza.

Nelle donne che allattano

Avvertenze e misure precauzionali

Impiego prudente nelle malattie che si accompagnano a limitazione della funzione respiratoria

I disturbi della funzionalità epatica e renale possono dare origine a aumenti del livello nel sangue di entrambi i principi attivi.

Durante l'uso prolungato e ad alto dosaggio si può instaurare una tolleranza alla codeina con dipendenza psichica e fisica.

L'assunzione concomitante di alcool può causare una compromissione della capacità di reazione.

I pazienti con il raro disturbo ereditario intolleranza al fruttosio/galattosio, con malassorbimento di glucosio-galattosio o con deficit di sucrasi-isomaltasi non devono utilizzare questo medicamento.

Questo medicamento contiene 3.5 mg di sodio benzoato (E 211) per 5 ml.

Questo medicamento contiene 250 mg di soluzione di sorbitolo al 70% per 5 ml.

Bisogna tenere conto dell'effetto additivo dell'uso concomitante di medicamenti contenenti sorbitolo (o fruttosio) e di sorbitolo (o fruttosio) con l'alimentazione.

Il contenuto di sorbitolo di medicamenti assunti per via orale può interferire con la biodisponibilità di altri medicamenti assunti in concomitanza per via orale.

I pazienti con intolleranza ereditaria al fruttosio (HFI).non devono assumere / ricevere questo medicamento.

Questo medicamento contiene meno di 1 mmol (23 mg) di sodio per 5 ml ed è quindi praticamente «privo di sodio».

Interazioni

In associazione con medicamenti ad azione sedativa centrale o alcool può verificarsi un rafforzamento reciproco dell'efficacia, tra l'altro con rischio di depressione respiratoria.

La somministrazione concomitante di inibitori delle MAO può causare un rinforzo degli effetti sul sistema nervoso centrale, tra cui agitazione, crampi, allucinazioni, sudorazione, modificazioni della pressione arteriosa e rigidità muscolare. Makatussin comp. sciroppo per la tosse dovrà pertanto essere usato non prima di due settimane dopo il termine di una terapia con MAO-inibitori.

In caso di assunzione concomitante con analgesici (p.es. acido acetilsalicilico o paracetamolo) l'azione analgesica di queste sostanze può rinforzarsi a vicenda.

I medicamenti che interferiscono con il metabolismo epatico possono causare livelli elevati di codeina nel sangue.

Non somministrare insieme a espettoranti, poiché il muco prodotto in più, a causa dell'azione antitussiva della diidrocodeina, non può essere eliminato con la tosse.

Gravidanza/Allattamento

La codeina non deve essere usata durante la gravidanza e l'allattamento (cfr. «Controindicazioni»).

Nella sperimentazione sugli animali sono risultati, per la codeina, dati indicativi di caratteristiche teratogene. Nell'uomo è stata documentata un'associazione tra malformazioni del tratto respiratorio e l'uso di codeina nei primi tre mesi di gravidanza. Inoltre esistono dati indicativi di sintomi di astinenza nel neonato dopo uso ripetuto di codeina nell'ultimo trimestre di gravidanza. Nell'uso prima del parto occorre inoltre tener presente una possibile depressione respiratoria. Per i motivi riportati, Makatussin comp. sciroppo per la tosse è controindicato per l'utilizzo in gravidanza.

Per la difenidramina esistono dati indicativi di una comparsa più frequente di palatoschisi. La difenidramina passa nel latte materno e inibisce la secrezione lattea.

Effetti sulla capacità di condurre veicoli e sull'impiego di macchine

Questo medicamento, anche se utilizzato conformemente alla sua destinazione, può modificare la capacità di reazione in modo tale da compromettere la capacità di guidare veicoli o la capacità di utilizzare macchine. Ciò si verifica in misura maggiore se associato all'assunzione di alcool.

Effetti indesiderati

I dati riportati qui di seguito sono usati per suddividere le indicazioni concernenti la frequenza degli effetti collaterali: «molto comune" (≥1/10), «comune» (<1/10, ≥1/100), «non comune» (<1/100, ≥1/1000), «raro» (<1/1000, ≥1/10'000), «molto raro» (<1/10'000).

Patologie del sistema nervoso

Comune: lieve sonnolenza, cefalea.

Patologie gastrointestinali

Comune: stipsi, nausea, disturbi epigastrici, vomito (soprattutto inizialmente).

Patologie gastrointestinali

Non comune: secchezza della bocca, disturbi della deglutizione, aumento del tono dei muscoli sfinteri distali del coledoco e dello stomaco.

Patologie respiratorie, toraciche e mediastiniche

Non comune: dispnea.

Patologie dell'apparato riproduttivo e della mammella

Non comune: disturbi dello svuotamento vescicale.

Patologie della cute e del tessuto sottocutaneo

Raro: eritema, prurito.

Disturbi psichiatrici

Raro: euforia, disturbi del sonno.

Disturbi del sistema immunitario

Molto raro: gravi reazioni allergiche generalizzate con rilascio di quantità significative di istamina, con possibile comparsa di ipotensione, vasodilatazione cutanea, eritemi, orticaria e broncocostrizione.

Con dosi maggiori o pazienti particolarmente sensibili possono presentarsi anche: depressione respiratoria, miosi e disturbi oculari, sudorazione ridotta, bradicardia, dopo durata di trattamento prolungata anche dipendenza con sintomi di astinenza alla sospensione.

La notifica di effetti collaterali sospetti dopo l'omologazione del medicamento è molto importante. Consente una sorveglianza continua del rapporto rischio-beneficio del medicamento. Chi esercita una professione sanitaria è invitato a segnalare qualsiasi nuovo o grave effetto collaterale sospetto attraverso il portale online ElViS (Electronic Vigilance System). Maggiori informazioni sul sito www.swissmedic.ch.

Posologia eccessiva

Segni e sintomi

Caratteristica del sovradosaggio di diidrocodeina è la depressione respiratoria pericolosa per la vita. I sintomi somigliano ampiamente a quelli dell'intossicazione da morfina con estrema sonnolenza fino a stupore e coma, generalmente accompagnati da miosi, spesso con vomito, cefalea, ritenzione di urine e feci. Sono possibili cianosi, ipossia, cute fredda, perdita di tono della muscolatura scheletrica e areflessia, talora bradicardia e caduta della pressione arteriosa, occasionalmente, soprattutto nei bambini, solo crampi.

In uno studio con sovradosaggio di difenidramina si sono verificate lievi ma significativi prolungamenti dell'intervallo QT.

Trattamento

L'effetto della diidrocodeina può essere revocato da antagonisti degli oppiacei, quali p. es. il naloxone. Eventualmente, la somministrazione di naloxone deve essere ripetuta. Quando non è possibile usare il naloxone, trovano indicazione i provvedimenti sintomatici, soprattutto la posizione laterale di sicurezza, la ventilazione artificiale e il trattamento dello shock. Per i restanti componenti attivi non sono noti antidoti specifici. Il trattamento è sintomatico.

Proprietà/Effetti

Codice ATC

R05DA20

Meccanismo d'azione

La codeina è un agonista oppiaceo con proprietà antitosse e analgesiche. La frequenza e l'intensità dei colpi di tosse vengono ridotte tramite l'inibizione del centro della tosse nel tronco cerebrale. L'azione analgesica della codeina è molto meno marcata di quella della morfina e si basa in gran parte sulla trasformazione metabolica (demetilazione) in morfina, infatti, la codeina stessa presenta solo una scarsa affinità con i recettori degli oppioidi.

La difenidramina è un antistaminico H1 e pertanto antagonizza vari effetti fisiologici e patologici dell'istamina, p. es. la costrizione della muscolatura liscia dei bronchi e della parete intestinale. Essa possiede un'azione sedativa molto marcata nonché proprietà anticolinergiche e antitussive. A causa di queste caratteristiche, la difenidramina contribuisce a ridurre l'intensità e la frequenza degli attacchi di tosse. Inoltre, a causa delle proprietà anticolinergiche della difenidramina, vengono inibite la secrezione mucosa eccessiva nel naso e la lacrimazione, con attenuazione delle manifestazioni che accompagnano il raffreddore e la rinite.

Farmacodinamica

Nessun dato.

Efficacia clinica

Nessun dato.

Farmacocinetica

Assorbimento

Diidrocodeina

Dopo assunzione per via orale, la diidrocodeina viene rapidamente assorbita.

Difenidramina

Dopo somministrazione orale, la difenidramina viene assorbita; non sono disponibili dati quantitativi sulla completezza e sulla velocità dell'assorbimento.

Comparsa dell'azione: 15-30 minuti dopo la somministrazione orale.

Durata dell'azione: 4-6 ore.

Distribuzione

Diidrocodeina

Le massime concentrazioni plasmatiche si raggiungono dopo 1,6 - 1,8 ore.

Difenidramina

Legame con le proteine plasmatiche: 70-85% (sono disponibili tuttavia anche dati che riportano il 98-99%).

Volume di distribuzione: 3-4 l/kg.

Emivita plasmatica: 5-8 ore.

Metabolismo

Diidrocodeina

La diidrocodeina viene escreta immodificata per via renale. La diidrocodeina viene per la maggior parte metabolizzata (O-demetilazione tramite il CYP2D6). L'insufficienza renale appare ritardare l'eliminazione della diidrocodeina.

Difenidramina

La difenidramina viene dapprima dealchilata a mono e di-desmetil-difenidramina e quindi ossidata ad acido difenil-metossi-acetico. Questo metabolita potrebbe essere legato alla glicina o alla glutammina ed essere escreto.

Eliminazione

Diidrocodeina

L'emivita di eliminazione media è di 3,3 - 4,5 ore. Entro 24 ore circa un terzo della diidrocodeina assunta per via orale viene eliminata immodificata per via renale.

Difenidramina

Meno dell'1% della difenidramina assunta per via orale viene eliminata per via renale, il 60-70% viene eliminato entro 96 ore sotto forma di metaboliti. Non è stata finora effettuata una determinazione quantitativa del rapporto tra i vari metaboliti.

Cinetica di gruppi di pazienti speciali

Disturbi della funzionalità renale

L'insufficienza renale appare ritardare l'eliminazione della diidrocodeina.

Dati preclinici

Non sono noti dati preclinici rilevanti per l'uso di Makatussin comp. sciroppo per la tosse.

Altre indicazioni

Stabilità

Il medicamento non deve essere utilizzato oltre la data indicata con «EXP» sul contenitore.

Indicazioni particolari concernenti l'immagazzinamento

Conservare a temperatura ambiente (15–25 °C).

Numero dell'omologazione

39255 (Swissmedic).

Titolare dell’omologazione

Gebro Pharma AG, 4410 Liestal.

Stato dell'informazione

Giugno 2020.

Composition

Principes actifs

Dihydrocodeini hydrochloridum, Diphenhydramini hydrochloridum.

Excipients

Benzoate de sodium (E211) 3,5 mg / 5 ml; acide citrique; néohesperidine dihydrochalcone; saccharose 3,9 g / 5 ml; arôme cerise; concentré de sureau; solution de sorbitol à 70% (non cristallisable) 250 mg / 5 ml; eau purifiée.

5 ml contenant 0,55 mg de sodium.

Forme pharmaceutique et quantité de principe actif par unité

5 ml contiennent 10 mg de dihydrocodeini hydrochloridum et 15 mg de diphenhydramini hydrochloridum.

Indications/Possibilités d’emploi

Toux lors d'infections grippales, toux irritative.

Sur prescription médicale, également en cas de bronchite aiguë et chronique.

Posologie/Mode d’emploi

Adultes dès 18 ans: 2–3×/jour 5 ml. Pour un dosage précis une tasse à mesurer est inclus.

Contre-indications

Hypersensibilité aux principes actifs ou à l'un des excipients conformément la composition.

Asthme bronchique.

Etats pathologiques dans lesquels il convient d'éviter toute dépression du centre respiratoire.

Administration prolongée lors de constipation chronique.

Glaucome à angle fermé.

Hypertrophie prostatique avec résidu vésical.

Etats pathologiques avec forte accumulation des sécrétions bronchiques.

Après des interventions chirurgicales viscérales.

En cas de diverticulite.

En cas d'obstruction cardiale, pylorique ou duodénale.

Phéochromocytome.

Prise simultanée d'IMAO.

Dépendance aux opioïdes.

Pendant la grossesse.

Chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans.

La codéine est contre-indiquée chez les patients connus pour être des métaboliseurs ultrarapides du CYP2D6.

• La codéine est transformée en son métabolite actif, la morphine, par l'isoenzyme hépatique CYP2D6 dont il existe plusieurs polymorphismes génétiques. Les patients avec un phénotype «métaboliseurs ultrarapides du CYP2D6» ont une activité élevée du CYP2D6, si bien que des taux sériques toxiques de morphine peuvent apparaître même à faible dose. Ces «métaboliseurs ultrarapides» peuvent présenter des symptômes de surdosage tels que vertiges, sédation profonde, essoufflement, nausées et vomissements, pouvant aller jusqu'à un arrêt respiratoire et cardiaque.
• Chez les femmes allaitantes qui sont des «métabolisatrices ultrarapides du CYP2D6» et qui reçoivent un traitement par la codéine, le risque de surdosage et de mort du nouveau-né est élevé en raison de l'augmentation de la concentration sérique de morphine. En cas de signes d'une toxicité aux opioïdes, il est extrêmement important de surveiller étroitement le patient.

Chez les femmes allaitantes.

Mises en garde et précautions

Prudence lors d'affections s'accompagnant d'une fonction respiratoire diminuée.

Troubles hépatiques et rénaux pouvant conduire à une augmentation des taux sanguins des substances actives.

En cas d'utilisation prolongée et à des doses élevées, une accoutumance à la codéine et une dépendance psychique et physique peuvent s'installer.

L'absorption simultanée d'alcool peut conduire à une atteinte renforcée de la capacité de réaction.

Les patients qui souffrent d'une intolérance au fructose/galactose, d'une maladie héréditaire rare, d'une malabsorption du glucose-galactose ou d'une insuffisance en sucrase-isomaltase ne doivent pas utiliser ce médicament.

Ce médicament contient 3,5 mg de benzoate de sodium (E211) par 5 ml.

Ce médicament contient 250 mg de solution de sorbitol à 70% par 5 ml.

Il convient de tenir compte de l'effet additif résultant de la prise d'un médicament contenant du sorbitol (ou du fructose) avec du sorbitol (ou du fructose) provenant de l'alimentation.

La teneur en sorbitol des médicaments pris par voie orale peut influencer la biodisponibilité d'autres médicaments pris simultanément par voie orale.

Les patients souffrant d'un intolérance héréditaire au fructose (IHF) ne doivent pas prendre/recevoir ce médicament.

Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par 5 ml, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».

Interactions

Une association à des substances ayant un effet dépresseur du système nerveux central ou à l'alcool peut entraîner un renforcement réciproque des effets, avec, entres autres, un risque de dépression respiratoire.

L'administration simultanée d'IMAO peut conduire à une augmentation des effets centraux, tels qu'une excitation, des crampes, des hallucinations, des sudations, des modifications de la tension artérielle et une rigidité musculaire. Le sirop antitussif Makatussin comp. devrait par conséquent être utilisé seulement deux semaines après la fin d'un traitement par IMAO.

En cas de prise simultanée d'analgésiques (p.ex. acide acétylsalicylique ou paracétamol), l'effet analgésique de ces substances peut être renforcé réciproquement.

Les médicaments ayant une influence sur le métabolisme hépatique peuvent induire une augmentation des concentrations plasmatiques de codéine.

Ne pas administrer ensemble avec des expectorants, car le mucus produit en quantité accrue ne peut pas être éliminé en raison de l'effet antitussif de la dihydrocodéine.

Grossesse/Allaitement

La codéine ne doit pas être utilisée pendant la grossesse et l'allaitement (voir Contre-indications).

Des études effectuées chez l'animal ont indiqué des propriétés tératogènes de la codéine. Chez l'homme, une association entre des malformations du tractus respiratoire et l'utilisation de la codéine pendant les trois premiers mois de la grossesse a été observée. De plus, un syndrome de sevrage peut se produire chez les nouveau-nés après administration répétée de codéine durant le dernier trimestre de la grossesse. Lors de l'utilisation avant l'accouchement, une dépression respiratoire doit en outre être envisagée. C'est pourquoi le sirop antitussif Makatussin comp. est contre-indiqué pendant la grossesse.

Des indications font état d'une survenue accrue de fentes palatines lors de l'administration de diphénhydramine. La diphénhydramine passe dans le lait maternel et inhibe la lactation.

Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines

Ce médicament, même lorsqu'il est utilisé conformément aux indications données, peut modifier la capacité de réaction et de ce fait influencer la participation active à la circulation routière ou l'utilisation de machines. Ceci est à plus forte raison vrai en association avec l'alcool.

Effets indésirables

Les indications suivantes sont utilisées pour classifier les données de fréquence des effets indésirables: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000).

Affections du système nerveux

Fréquent: légère somnolence, céphalées.

Affections gastro-intestinales

Fréquent: constipation, nausées, troubles épigastriques, vomissements (notamment initialement).

Occasionnel: sécheresse buccale, troubles de la déglutition, augmentation du tonus de la musculature sphinctérienne des voies biliaires et gastrique.

Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales

Occasionnel: dyspnée.

Affections des organes de reproduction et du sein

Occasionnel: troubles de la vidange de la vessie.

Affections de la peau et du tissu sous-cutané

Rare: érythème, prurit.

Affections psychiatriques

Rare: euphorie, troubles du sommeil.

Affections du système immunitaire

Très rare: réactions allergiques généralisées sévères avec libération de quantités significatives d'histamine, lors desquelles une hypotension, une vasodilatation cutanée, un érythème, un urticaire et une bronchoconstriction peuvent se produire.

A doses élevées ou chez des patients particulièrement sensibles, les effets indésirables suivants peuvent se produire: dépression respiratoire, myosis et troubles visuels, hypohidrose, bradycardie et, en cas de traitement prolongé, une dépendance avec un syndrome de sevrage à l'arrêt du traitement.

L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.

Surdosage

Signes et symptômes

Une dépression respiratoire potentiellement fatale est caractéristique d'un surdosage de dihydrocodéine. Les symptômes sont similaires à ceux de l'intoxication morphinique, avec une somnolence extrême, pouvant aller jusqu'à la stupeur et au coma, souvent associés à un myosis, fréquemment accompagnés de vomissements et d'une rétention urinaire et des selles. Une cyanose, une hypoxie, une froideur cutanée, une perte du tonus musculaire squelettique et une aréflexie peuvent apparaître, parfois une bradycardie et une chute tensionnelle et occasionnellement, notamment chez les enfants, seulement des crampes.

Une étude a montré qu'un surdosage de diphénhydramine est associé à un allongement discret, mais significatif, de l'intervalle QT.

Traitement

L'effet de la dihydrocodéine peut être contrecarré par des antagonistes des opiacés, tels que la naloxone. L'administration de naloxone doit éventuellement être répétée. Si la naloxone ne peut pas être utilisée, des mesures symptomatiques sont indiquées, notamment un décubitus latéral, une respiration assistée et une réanimation. Aucun antidote efficace n'est connu pour les autres constituants. Leur traitement est symptomatique.

Propriétés/Effets

Code ATC

R05DA20

Mécanisme d'action

La codéine est un agoniste des opiacés ayant des propriétés antitussives et analgésiques. L'inhibition du centre de la toux dans le tronc cérébral conduit à une diminution de la fréquence et de l'intensité des accès de toux. L'effet analgésique de la codéine est beaucoup moins marqué que celui de la morphine, et est largement basé sur la transformation métabolique (déméthylation) en morphine, car la codéine n'a qu'une faible affinité pour les récepteurs des opiacés.

La diphénhydramine est un antihistaminique H1 et de ce fait un antagoniste des divers effets physiologiques et pathologiques de l'histamine, tels que la constriction de la musculature lisse bronchique et de la paroi intestinale. Elle possède un effet sédatif très marqué, de même que des propriétés anticholinergiques et antitussives. En raison de ses propriétés, la diphénhydramine contribue à la diminution de l'intensité et de la fréquence des accès de toux. En outre, les propriétés anticholinergiques de la diphénhydramine contribuent à l'inhibition des sécrétions nasales et lacrymales, conduisant à une amélioration des symptômes d'un refroidissement et d'un rhume.

Pharmacodynamique

Aucune donnée.

Efficacité clinique

Aucune donnée.

Pharmacocinétique

Absorption

Dihydrocodéine

Lors d'une prise orale, la dihydrocodéine est rapidement résorbée.

Diphénhydramine

La diphénhydramine est résorbée après administration orale, mais des données quantitatives quant au degré et à la vitesse de résorption ne sont toutefois pas disponibles.

Début de l'effet thérapeutique: 15–30 minutes après administration orale.

Durée de l'effet thérapeutique: 4–6 heures.

Distribution

Dihydrocodéine

Les pics plasmatiques sont atteints après 1,6 à 1,8 heures.

Diphénhydramine

Liaison aux protéines plasmatiques: 70–85% (il existe également des données indiquant une liaison de l'ordre de 98–99%).

Volume de distribution: 3–4 l/kg.

Demi-vie plasmatique: 5–8 heures.

Métabolisme

Dihydrocodéine

La dihydrocodéine est éliminée sous forme inchangée par voie rénale. La dihydrocodéine est en grande partie métabolisée (O-déméthylation par CYP2D6). Une insuffisance rénale semble retarder l'élimination de la dihydrocodéine.

Diphénhydramine

La diphénhydramine est d'abord désalkylée en mono-et didéméthyldiphénhydramine et ensuite oxydée en acide diphenylmethoxyacétique. Ce métabolite est vraisemblablement excrété lié à la glycine ou à la glutamine.

Élimination

Dihydrocodéine

La demi-vie d'élimination moyenne se situe entre 3,3, et 4,5 heures. Environ un tiers de la dihydrocodéine prise per os est excrétée inchangée par voie rénale dans les 24 heures.

Diphénhydramine

Moins de 1% de la diphénhydramine administrée par voie orale est excrétée inchangée par voie rénale, 60–70% étant éliminés dans le 96 heures sous formes de métabolites. Une détermination quantitative du rapport entre les métabolites n'a pas été effectuée jusqu'à ce jour.

Cinétique pour certains groupes de patients

Troubles de la fonction rénale

Une insuffisance rénale semble retarder l'élimination de la dihydrocodéine.

Données précliniques

Aucune donnée préclinique significative relative à l'utilisation du sirop contre la toux Makatussin comp. n'est connue.

Remarques particulières

Stabilité

Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.

Remarques particulières concernant le stockage

Conserver à température ambiante (15–25 °C).

Numéro d’autorisation

39255 (Swissmedic).

Titulaire de l’autorisation

Gebro Pharma SA, 4410 Liestal.

Mise à jour de l’information

Juin 2020.